Publications IRSTEA
Articles publiés dans cette rubrique
Communiqué du SNTRS-CGT à propos de la fusion INRA-Irstea
Communiqué du SNTRS-CGT à propos de la fusion INRA-Irstea
C’est maintenant officiel : les grandes manœuvres ont commencé. La fusion entre Irstea et l’Inra est annoncée pour janvier 2020. La copie devra être rendue pour le 1er juillet 2019.
L’Irstea est dans une situation délicate depuis de nombreuses années. Les politiques budgétaires qui lui ont été appliquées se sont traduites par une cure d’amaigrissement, perte continue du nombre de postes (-79 ETPT (équivalent temps plein travaillé) sous (...)
Primes l’urgence de se mobiliser
Primes l’urgence de se mobiliser
Si le SNTRS-CGT refuse la mise en place du RIFSEEP qui aurait pour conséquence une encore plus grande individualisation des primes et la casse de la solidarité entre collègues, nous n’acceptons pas pour autant le statu quo. Dans les organismes de recherche, les primes sont bien en-dessous de la moyenne des autres ministères.
Dans l’ensemble de la fonction publique d’État, la moyenne des primes est de :
6 548 € pour les catégories C | 9 186 € pour la catégorie B | (...)
Primes : Les vrais chiffres de la PPRS avant le passage au RIFSEEP
Primes : Les vrais chiffres de la PPRS avant le passage au RIFSEEP
Dans notre profession de foi pour l’élection des représentants au Conseil d’Administration, nous écrivions : Plus de primes pour les statuts recherche et pas d’individualisation.
Le SNTRS-CGT revendique une prime de 30 % pour tous les personnels,
de l’adjoint-technique au chercheur.
C’est une question d’égalité entre les ministères, notamment avec le ministère de l’agriculture, c’est un élément de justice sociale.
Ceci est une (...)
L’IRSTEA : un EPST en voie d’extinction !
L’IRSTEA : un EPST en voie d’extinction !
Victime de la politique d’austérité budgétaire de l’Etat…
L’IRSTEA est financé par une dotation de l’Etat et également, pour une part importante (30 %), par des ressources contractuelles, à 85 % d’origine publique .
La politique de réduction des dépenses publiques (à laquelle la recherche n’a pas échappé !) et notamment le refus de l’Etat de couvrir les dépenses de masse salariale érode d’année en année les capacités d’action des EPST. Partant d’une dotation de (...)